CONTENU PARTENAIRE | Nathalie Dionne: le récit d'une ascension chez TELUS

 

Arrivée chez Telus en 2003, Nathalie Dionne y occupe aujourd’hui le rôle de vice-présidente régionale, Marketing, Québec. Nous avons discuté avec elle de son parcours et des spécificités du marché québécois pour le géant des télécommunications.  

Ce texte de Aurore le Bourdon est un contenu partenaire financé et relu par TELUS.

Il y a 20 ans, vous commenciez votre carrière en tant que représentante du service à la clientèle chez Telus à Rimouski. Qui était la Nathalie Dionne d’alors ?

J’étais très curieuse, passionnée par le monde des affaires et l’entrepreneuriat, même avant mon baccalauréat en Administration des affaires et Marketing. Telus est un joueur local très important à Rimouski, c’était donc une option évidente pour travailler. J’ai immédiatement été séduite par la culture de l’entreprise, ses valeurs, sa vision et par l’effervescence de l’industrie des télécoms. En 2003, Internet arrivait doucement dans les foyers, donc j’ai vraiment réalisé comment Telus a su comprendre, s’adapter et innover en anticipant les besoins des clients pour simplifier leur quotidien.

Vos différents rôles vous ont permis d’être très proche du terrain. Est-ce que ça influence la façon dont vous appréhendez votre mission actuelle ?

C’est vrai qu’on ne sort pas le centre d’appels ni le marketing de la fille. Ce sont des façons de travailler et de penser qui restent ancrées. J’ai toujours été proche des canaux de distribution, des opérations, des gens de terrain et des clients. Je veux conserver cette proximité dans mon rôle actuel pour m’assurer de faire évoluer nos produits et services au Québec tout en restant impliquée dans les communautés. Je vois une réelle continuité dans mes différentes expériences.

Avez-vous des conseils pour celles qui veulent gravir les échelons dans une grande entreprise ?

D’abord et avant tout, saisir toutes les occasions de développement qui nous sont offertes. Par exemple, chez Telus, j’ai bénéficié du programme Connexion, dont je suis la marraine depuis quelques années. On y soutient le parcours professionnel de femmes dans l’entreprise au moyen de conférences, de contenus et d’occasions de développement de compétences ou de réseautage. Je crois aussi beaucoup au mentorat, à la nécessité de se confronter à des profils et des parcours différents du sien. J’en bénéficie et je donne moi-même de mon temps à l’équipe ou même à l’extérieur de mon organisation. Redonner, c’est essentiel.

Redonner, dites-vous, c’est aussi une des valeurs chez Telus où l’engagement communautaire est très valorisé.

Totalement. Cette implication se traduit en millions d’heures de bénévolat chaque année à travers le Canada et même à l’international. Nos 19 comités d’investissement communautaire (dont 3 au Québec) sont composés de membres de l’équipe Telus et d’acteurs locaux externes qui nous permettent de prioriser les actions pour la communauté. De la collecte de denrées au nettoyage de parc, en passant par les situations plus malheureuses comme les incendies ou les inondations, nos bénévoles se mobilisent, souvent avec leur famille. Je suis moi-même membre du comité d’investissement communautaire de Québec et j’amène parfois mes enfants dans des activités de bénévolat pour qu’ils comprennent l’importance d’aider la communauté. Je suis par ailleurs membre du C.A. d’Opération Enfant Soleilet impliquée dans Fillactive.

Quelle place occupe le Québec pour Telus ?

Pour Telus, le Québec est une priorité. Après tout, c’est près de 100 ans d’histoire que l’on a développée ici. Notre proximité avec les marchés et les communautés nous a permis de proposer des solutions adaptées aux Québécois : par exemple, notre partenariat avec Radio-Canada pour offrir TOU.TV Extra à nos clients, le programme Telus Privilèges, ou encore les partenariats pour soutenir la culture d’ici, comme ceux que nous avons avec le MTELUS, le Grand Théâtre de Québec, le CF Montréal et le Rouge et Or. Cette saveur locale est primordiale pour nous. 

Parlant de saveur, qu’est-ce qui définirait le mieux votre style de gestion ?

Par ma nature, je dirais que j’amène les équipes à innover, à penser autrement, à se demander comment on peut aller plus loin et se faire confiance là-dedans, tout en ayant du plaisir. Vous l’aurez compris, je tiens aussi vraiment au développement des compétences. Je veux nourrir un état d’esprit de créativité et de curiosité, qui se traduit concrètement par les adaptations de campagnes nationales pour le Québec, et contribue à faire notre place sur le marché.

Que peut-on vous souhaiter pour l’avenir ?

Accomplir de nouveaux succès au Québec, continuer de développer la proximité avec les acteurs locaux, et continuer d’investir dans le développement de nos talents d’ici afin qu’ils aient en main tous les outils pour innover malgré les changements qui touchent notre industrie et le marché en général.